Maison commune de Thorm, Thyr, Ilmater et Kelemvor.

Bien pair, je vais de ce pas chercher les documents.

de retour avec les documents, Bayet les transmis au Sénéchal, puis se retira, avec la permission de son supérieur afin de vaquer à ses occupations.
Il s'en alla d'abord aux prières avec ses frères puis, avant d'aller s'occuper de son harnachement, il prend un petit repos dans la salle d'arme.
Là, il s'assoit et commence à méditer en contemplant une icône dans son bréviaire

"Merci messire Brayet. Maintenant hâtez vous de porter ces documents (il tend en retour les statuts à Bayet) au temple pour faire les copies au plus vite.

Il désigne un petit coffret sur une table proche.

"Prenez ce coffre pour l'échange. ET hâtez vous au lieu de consulter votre bréviaire, vous avez déjà pris énormément de retard ce matin et la journée est avancée, très avancée. Hâtez vous."

Le sénéchal n'a pas l'air d'avoir une envie particulière de discuter.

Bayet, assez surpris de l'attitude du Sénéchal, prend les documents et le coffret puis regarde dubitatif le Sénéchal s'en aller. Il feroit bien de prier plus souvent celui-ci, se dit il, cela laverait son âme et allègerait son caractère.
La suite pour Bayet
https://lescampagnes.forum2jeux.com/Sudolphor-c1/Les-Lieux-Divins-c4/la-Maison-Commune-f19/Bayet-a-la-Maison-Commune-t164.htm

Le jour se lève, une nouvelle fois en la Maison commune, et chacun commence à vaquer à ses occupations. Isabelle, de garde la veille, transmet le flambeau, sans toucher mot, à son successeur du jour. Tout le monde se presse pour l'office du matin dans le temple commun, où les noms des dieux sont invoqués tour à tour, et où l'on félicite l'accord entre ceux-ci.

L'office est présidé par Valen le Juste, un prêtre d'Ilmater. ON remarque sans problème qu'il semble préoccupé. Mais la cérémonie se déroule bien. Enguerrand, de la délégation des Contrées du Nord, se retire rapidement, en s'excusant, prétextant qu'il a d'importantes choses à prévoir, et qu'il va lui falloir ce jour porter les statuts de son ordre aux autorités de la cité.

Ensuite, les portes de la MAison commune sont ouvertes au public, et le marché se déroule, devant les portes, sous l'oeil vigileant des hommes de gardes postés en haut de la façade fortifiée surplombant la place où s'étalent les tentes et couvertures des marchands.

On parle un peu, en allant déjeuner dans la salle commune des repas, sur le chemin donc, d'un conflit d'honneur avec les adeptes de la Cavalière Rouge. Ceux-ci pourraient se voir confier la direction de tous les bataillons d'équidés de la ville, et donc tous les ordres pourraient se trouver sous leur direction en cas de conflit. Enfin, on dit, cette fois au sortir du repas du matin, qu'un émissaire d'Anauchthyr devrait venir en la Maison commune, confier une partie du rapport qu'il a fait à la cité au retour d'une mission dans le nord.

La soirée s'achève par un repas commun... Chacun dine en silence. A la sortie du repas, en se dirigeant vers la chapelle commune qui est celle de Thyr, on discute toujours.... toujorus du conflit diplomatique avec les adeptes de la Cavalière Rouge... On dit qu'effectivement, le Conseil des maîtres de la ville pourrait charger ce culte, "mineur pourtant dans l'essentiel des contrées de Faerun" s'étonne-t-on, de la sécurité d'une grande partie de la ville. "C'est un affront direct contre nos cultes", indiquent à voix basse certains paladins ou prêtres. "Le culte de la cavalière rouge nous joue ici un mauvais tour". La cérémonie habituelle se termine, et ensuite tout le monde se retire, prier tranquillement avant l'assoupissement nocturne.

L'aube du 6e jour de la deuxième décade. L'activité reprend à la Maison Commune.

Les membres de la Maison Commune auraient fait mander des nains spécialistes des affaires minières... On se demande pourquoi.... Qu'on-t-ils à faire avec eux ?