Lombémnécos entre aux termes après s'être plié aux tarifs en vigueur. Pénétrant en ses lieux, il constate tout d'abord qu'il doit se séparer de son équipement, pour se retrouver avec pour unique armure un pagne blanc fourni aux vestiaires où il a laissé ledit équipement. Son unique arme est maintenant quelques poignées de sels de bain.
C'est la deuxième fois qu'il pénètre en ses lieux, mais cette fois il a le temps de s'occuper d'observer les salles. Entre autre, ce qui le frappe, c'est que la salle commune où se succèdent les chauds bains publics, cette salle, est plus haute que beaucoup des forteresses qu'il a vu dans son périple jusqu'ici. Que ladite salle est plus immense que certains bourg qu'il a vu durant ses voyages. DEs bains chauds, ou froids, se dégagent en certaines salles, des brumes dignes des contes que beaucoup de tueurs de dragons supposés se vantent d'avoir vu au pied des antres qu'ils n'ont en fait jamais fréquenté. Quant aux décorations de ce lieu, elles dépassent l'entendement humain, et surtout par leur richesse, écrassent bon nombre des lieux de cultes qu'il adéjà visité. Des colonnes émergent des brumes purifcatrices pour se perdre, ornées du socle au fait de sculptures raffinées, dans les immensités de la toiture voutée de la salle principale. De douces musiques s'évaporent des miasmes brumeuses. Comme le vent frappant les côtes fraiches du nord, elles revigorent le visiteur. De belles jeunes filles et de beaux éphèbes errent, au service des usagers de ces lieux, usagers qui semblent issus de tous les milieux sociaux.