1372 mois du Ches 2e dizaine 5e JOUR à l'AUBERGE DU TERTRE

Une nouvelle journée commence.

Les PJs présents à l'auberge sont : Hans, Psirone, Grovius, et Lombémnécos (en admettant qu'il ait dormi quelque part).

Après une nuit bien remplie (lecture et écriture qu'allez vous chercher...). Grovius se lève assez tôt pour aller se restaurer dans la salle commune. Il semble de bonne humeur. A son côté un sac volumineux, plein de livres et de parchemins. Il porte son épée à la ceinture.
Si une personne qu'il connaît est présente, il proposera de se joindre à elle.

Alors que monsieur frère Grovius s'installe et prend son petit déjeuner, Mirang se porte à sa rencontre, justement pour lui servir son repas du matin.

"alors messire Grovius, estes vous citoyen de cette ville ? depuis hier ?".

Grovius avec le sourire:
[
i]Eh oui cher Mirang, me voilà citoyen de cette belle cité. Après quelques années de voyages, je pense même résider durablement ici, tant il y a des choses à faire...[/i]
Il marque un temps:
Selon toi, la citoyenneté est donnée relativement rarement, ou bien la ville accueille t-elle volontiers les nouveaux venus?

PSIRONE descend de l'étage tout en arme et avec son équipement. Derrière lui, une femme noire le suit. Elle porte sacs et armes. Visiblement, PSIRONE va quitter l'auberge. 2 de ses armes sont sans noeuds de paix : un cimeterre et une dague à la ceinture. Il va au fond de la salle et jette tout son bardas par terre. Il s'installe et attend que Mirang vienne le servir.
"A manger et à boire. Et que ça me tiennent jusqu'à ce soir. La journée va être longue".

Il n'a plus le sourire aux lèvres comme la veille au soir en rentrant du palais des conseillers. Sn visage est stricte, de marbre. En passant à côté de Grovius, il ne laisse pas un mot s'échapper ni un regard s'ahsarder sur le prêtre et Mirang qui discutent.

Après avoir fini de manger et boire, il va voir le patron de l'auberge.
"Je quitte ton auberge Quilhem. Je vais prendre possession de ma maison. Elle se trouve un peu à l'extérieur de la ville" Il explique où c'est et à quoi elle ressemble.

"Merci pour ton accueil ici. Tu seras le bienvenu chez moi. Mais il faudra apporter à boire, car tout est vide. Certaines sont le bienvenu également "
Et il regarde Mirang "Elles peuvent venir seuls. Le loup du nord ne les mangera pas."

Il regarde ensuite en direction de Quilhem sans vraiment le ragarder, et avec une voix plus sinistre "D'autres pourront venir aussi, si c'est pour venir payer leur dette."

PSIRONE

"AInsi tu quittes les lieux, barbare.... J'espère que nous te reverrons... je le pense... bonne route, que la fortune soit sur tes pas. TU seras ici le bienvenu.".

Mirang passe, la tête haute, avec ce petit rien d'hautain que lui confère la cicatrice qui orne sa joue et son cou. Elle répond, sans sentiment dans sa voix, à Frater Grovius :

"La citoyenneté est assez rare... vous êtes peu à l'avoir... peut être un sur cent, ou moins....".

Elle allait sans doute ajouter quelque chose, mais semble tourner sa langue dans sa bouche, et se taire finalement.

LUna descend à son tour. Elle observe l'assemblée du regard, cherchant quelqu'un, puis prend place à une table pour prendre le repas du matin.

LEs clients habituels sont présents, GRouda et sa mystérieuse compagne. La jeune "clocharde" brune, toujours accompagnée de son étrange arme d'hast.

Le "boucher" et le "commerçant" terminent leur discussion, et comme d'habitude, le boucher s'en va rapidement commencer sa nuit en grommelant.

Quilhem le jeune semble anormalement mélancolique.

Lomnbémnécos arrive dans l'auberge, heureux.
Il salut bien tout le monde et monte dans sa chambre, un sourire béa aux lèvres.

Lorsque Lombemnécos arrive, Luna se lève pour l'accueillir à sa table.

"Je crois, d'après ce que j'entends, que vous avez prouvé ces derniers jours votre valeur et vos capacités. J'en ai un peu entendu parler. POurriez vous m'escorter une nouvelle fois en l'enclave Calimshite ?".

Lomnbémnécos content de voir la jeune femme se dirige vers elle :
oui, oui, dame Luna, oui j'ai effectué un petit travail pour la ville et justement je vous cherchais pour le travail que vous m'aviez demandé.
Quand faut il se mettre en route ?

"Mettons nous en route tout de suite", fait Luna. "Rendons nous en l'enclave".

Sur ce, Luna et le guerrier se mettent en marche, ou plutôt prennent leurs montures (Lombé en a-t-il ?).

Ils progressent vers le sud, en direction de l'enclave Calimshite, longeant le port de guerre et de commerce se trouvant au centre de la cité, puis le quartier dit "des docks", le long de la petite enceinte permettant de le clore durant la nuit. Ils montent le long de la colline des docks, là où se trouve, entre autre, l'auberge de l'Espadon dans laquelle Lombé a passé une nuit il y a quelques jours. Puis ils redescendent en direction de la muraille de la deuxième enceinte, qui permet de passer dans l'enclave Calismshite. Une fois là, ils se dirigent en direction des Halles principales, là où Lombé avait déjà mené la belle une fois.

RDV ENclave Calimshite.

Citation :

plutôt prennent leurs montures (Lombé en a-t-il ?).

ben oui et en plus c'est mon animal fétiche, étant donné de mes orignies de Triboire !!!

Lomnbémnécos, et pas Lombé (il ne joue pas du tam tam avec des dreds logs dégeulasses dans les rues en fumant des joints, du moins pas encore ), monte dans sa chambre, prend ses affaires, le pas léger, il va à l'écurie et harnache son fidèle cehval, avec un soin peu commun même si l'animal reste un tant soit peu crasseurs, poussiéreux et crottés.
En regardant les autres chevaux dans l'écurie, souvent aussi propre qu'une paire de bijoux le soir d'une nuit de noces, Lomnbémnécos se dit que les propriétaires ne sont pas des cavaliers et que leurs montures ne sont plus des chevaux.
Il sort, monté et suit Luna.

Puisque que "Lombé" veut faire le malin :

1erement : il n'y a pas d'écurie à l'auberge

2ement : l'écurie proche a quelques chevaux,

3emet : ils sont aussi bien tenus que le sien, et de plus semblent presque tous être d'une grande qualité que l'on ne retrouve que lorsqu'on approche du Shaar. Même si ce ne sont pas des chevaux issus du Shaar, puisque ceux ci ne peuvent guère survivre au dela de ce pays, ils ont bien meilleure allure que les chevaux des barbares du nord, et semblent tous racés. Voilà ce que remarque, sans problème, une personne s'y connaissant un petit peu en chevaux. De plus, tous les chevaux, sans exception sont avec amour soigné par un palefrenier payé par Quilhem... palfrenier de confiance, puisqu'il s'agit de son fils.

Lomnbé remarque que LUna monte un beau cheval noir, petit, mais qui semble d'une vigueur sans équivalent dans le nord. Racé, teigneux, discipliné.

Il semble évident, après tout cela, que l'orgueil des gens du nord ne puissent être comparé au respect et au maniement expert du cheval qu'on les gens du sud. Et monsieur Lomnbémnécos le constate amèrement en regardant les autres montures présentes en l'écurie.

Grovius regarde Psirone partir:

Bonne installation... Quand je frapperai à ta porte tu auras ce que tu souhaites, tel que je l'ai promis.

Ensuite il retourne à son déjeuner.

Psirone est parti depuis longtemps lorsque Frater Grovius lève ses fesses, en cours d'après midi.

Citation :

Lomnbé remarque que LUna monte un beau cheval noir, petit, mais qui semble d'une vigueur sans équivalent dans le nord. Racé, teigneux, discipliné.

Lomnbémnécos regarde cette belle monture avec beaucoup d'intérets. Toutefois, les chevaux trop teigneux ne sont pas de sont goût, trop fatiguant pour de longs trajets et un travail quotidien.
Lomnbémnécos suit Luna.

Quilhem le gros, patron de l'auberge, avance le repas du soir. Les discussions tournent autour d'une chose : de plus en plus, au nord, on a des soucis... Quelques clients indiquent que l'on ne comprend ce qu'il se passe... Des morts vivants se lèvent, et pourtant la ville de Sudolphor, "notre bonne ville", ne semble pas réagir... "Ah, au temps ou qu'on était directement sous le gouvernement du Calimshan, on a aurait pas toléré cela !".


Un homme inconnu pénètre dans la pièce et va s'assoir dans un coin sous l'oeil inquisiteur de Mirang.

Nova, la fille de Quilhem, discute avec Mirang. Celle-ci semble un peu soucieuses, son petit front étant plissé. Quelque choses semble la déranger. Nova, qui a repéré le malaise de la serveuse, s'enquiète de cela auprès d'elle, mais ne semble pas obtenir de réponse satisfaisante.

L'homme inconnu prend place. C'est un homme vêtu de vêtements de qualité moyennes. Il a un faciès brutal, un front proéminant avec des yeux profondéments ancrés au fond d'orbites sombres. Son lourd menton est tranché par une ancienne cicatrice. Il s'installe et commande un peu à manger, et observe la salle. Mirang le sert. L'homme lui fait signe de se pencher et lui pose quelques questions auxquelles elle répond par la négative.

Lorsque Gruda, le demi orc revient de sa journée, l'homme nouveau venu lui fait signe, et grogne quelque chose dans la langue orc. Ceci surprend Quilhem le jeune, qui n'est pas loin.

Gruda se joint à sa table. Une conversation est entamée, ponctuée par les grognements stupides de Gruda. Assez rapidement, l'homme inconnu semble désemparé par l'impossibilité de communiquer avec Gruda.

Gruda :

Aux alentours de midi, PSIRONE entre dans l'auberge avec 2 femmes magnifiques du Shaar. Il leur fait un geste sans mot dire en direction d'une table vide. Il attend qu'elles prennent place et va ensuite vers Quilem.

(HRP : est-ce que Grovius ou hans sont là quand j'arrive ?)

"Bonjour l'ami. Peux-tu me servir vite? Je suis pressé. Prépare aussi quelque chose pour ces 2 femmes. Faits moi préparer à manger pour 6 jours de voyage et pour 2 personnes. Je dois partir m'occuper d'un petit problème."

Il se rapproche alors et dit à voix basse (Message privé).

Il va ensuite s'assoir au côté des 2 femmes. IL prend sans ménagement le bras de l'une d'entre elles où se trouve la marque d'une esclave. Il la regarde et dit : "Ilian a raison, il vous faut une marque pour qu'on reconnaisse comme miennes. Mais j'ai mieux que le fer rouge sur une peau aussi délicate. Au fait c'est laquelle de vous 2 qui parle le commun?"

PSIRONE

Quilhem sert tout le monde, et fait signe de la tête à Psirone qu'il transmettra son message. Puis il part donner quelques ordres à son fils pour assurer l'approvisionnement demandé par le barbare.


A la table, la plus jolie des esclaves, celle dont Psirone sert le bras, indique :
"C'est moi qui parle la langue des marchands".

Hans reveint à l'auberge après midi

apres avoir entendu l'aibergiste

si Psirone est là il le rejoint

sinon il demande où il peut le trouver

hrp : Pour faire plus simple, considérons que Psirone est encore là quand Hans arrive.

PSIRONE fait un signe de la main à HANS pour qu'il vienne s'assoir à côté de lui. Il se rapproche et lui glisse quelques mots à voix basse (MP).

"Alors qu'en dits tu? Mais si tu viens, décides maintenant. Car une fois le repas fini je pars à la chasse..."

PSIRONE

Pouvez-vous, HANS et PSIRONE, me faire [color=black]un jet de discrétion pour vos messes basses...

[color:321f=blue:321f]RAppel : vous jetez le d20 (chez vous, puisque de toute façon je relance ensuite la base de 20 chez moi, donc vous ne pouvez tricher).
Vous m'indiquez : le résultat comme suit :
.../20
+ bonus compétence/
+ bonus caractéristique, puis le TOTAL à la fin

"Voilà qui est chose faite. Grovius nous aurait été utile. Mais bon on fera sans lui. Partons maintenant. Ha , que pense tu de mes derniers achats. Splendide non, surtout elle. Obéissant à ce qu'il semble. Enfin il vaut mieux pour elles. On verra plus tard si elles sont farouches. Et puis pourquoi en emmener une."
Il attire alors la plus belle des deux à lui afin que les corps soient accolés.
"Toi. Tu nous suivras. Je pourrai voir si j'ai bien dépensé mon or."
Il se lève, rassemble ses affaires et part de l'auberge avec ses 2 femmes.

PSIRONE