L'Auberge du Pied Heureux. Il s'agit d'une simple maison de deux étages, en bois et pierre.
Elle se trouve à un croisement de rue, diamétralement opposée à une demeure étrange, envahie de végétation, et dominée par une tour carrée en ruine, en partie recouverte d'une végétation noueuse et sauvage.
Une coquette maison est donc le lieu de ladite auberge. Servant d'enseigne, un panneau avec une note de musique de couleur sable. L'intérieur ne ressemble pas vraiment à une auberge.
Dans la salle à manger, troglodyte, sous les tables se trouvent des tapis. Au fond, un seul bar, discret. Le long d’un des murs se trouvent des sortes d'étagères à casiers remplis de rouleaux de parchemins. Parfois, des hommes sont assis fumant d''étranges pipes à eau tout en mangeant avec doigté des fruits secs et en buvant une boisson chaude que l’on dit venir de Al Qadim. Certains lisent des poèmes, chantent, en direction de leur tablée.
L'atmosphère est calme et passionnée, raisonnée et poétique.
L'ambiance est plutôt bonne, mais axée essentiellement sur des poèmes, chansons et odes variées et diverses, entonnées à tour de rôle par la grande majorité des convives.
L'ambiance est plutôt bonne, mais axée essentiellement sur des poèmes, chansons et odes variées et diverses, entonnées à tour de rôle par la grande majorité des convives.
Elle est dirigée par Hubert Beaurepère, homme d’éducation.
La chambre coûte 2 Po
un repas copieux 1 Po ou 4 Pa le repas rustique